A la rencontre de Stéphane, chef de projet chez NFrance

Bonjour Stéphane, peux-tu nous expliquer ton parcours ?

Je suis diplômé d’un Master 2 en systèmes de télécommunications et réseaux informatiques que j’ai réalisé en alternance. Par la suite, j’ai travaillé durant 5 ans comme prestataire dans le secteur de l’aviation civile où j’ai coordonné des projets en réseau et j’ai fait du support sur mon expérience suivante. 
J’ai ensuite travaillé 8 ans dans le service IT d’une PME spécialisée dans la grande distribution. J’ai eu l’occasion de mettre en place et manager l’équipe technique en charge des études des solutions du SI de l’entreprise.
 

Pourquoi avoir choisi NFrance ? 

NFrance étant une société à taille humaine, je savais que mon champ d’action serait plus large que dans une grosse entreprise où les services sont généralement cloisonnés, et où les choses évoluent plus difficilement.
Là, on me proposait des activités qui allaient au-delà de ce que je faisais auparavant, avec notamment la relation client. Et ça me permettait également de changer complètement d’environnement technique et de monter en compétences sur des sujets importants pour moi tels que Linux et les processus d’industrialisation.
 

En tant que chef de projet, à quoi ressemble ton quotidien ?

NFrance m’a confié la responsabilité des clients grands comptes dans le cadre de projets de mise en place des nouveaux environnements ou d’évolutions d’infrastructures. J’accompagne aussi les clients au quotidien pour des demandes de renouvellements de certificats, des problématiques d’accès aux environnements… 

Mon rôle consiste à faire le lien entre les besoins des clients et les équipes internes de NFrance. Je fais transiter les informations entre des populations qui n’ont pas forcément le même langage. Il faut arriver à rendre pédagogique des aspects techniques et traduire un besoin fonctionnel pour assurer sa mise en œuvre.
Le client peut avoir des problématiques pour lesquelles les équipes ne sont pas forcément alertées. Et d’un autre côté, les équipes doivent parfois prévoir une intervention qui va impacter le service et nos clients n’en sont pas informés.

Il est nécessaire d’avoir une bonne vision des activités en cours, des interlocuteurs, et des priorités pour apporter une réponse dans les délais. Il n’y a pas de journée type, on compose avec l’actualité du moment.
 

Et l’aspect technique ?

Il faut faire le relais entre des personnes techniques et d’autres qui ne le sont pas. Il est donc essentiel de comprendre les sujets techniques et de savoir les vulgariser. Il ne faut pas tout connaître, en revanche, on doit être en capacité de s’y intéresser, de les comprendre et de les relayer.
 

Quelles sont, selon toi, les qualités nécessaires pour ce poste ?

Je dirais qu’un chef de projet doit disposer d’un bon relationnel et d’un certain leadership. A la fois, pour assurer le lien avec le client et également pour interagir avec les équipes internes. Au travers des arguments qu’on porte, il faut faire adhérer les autres au projet commun.
Il faut aussi savoir s’organiser car on a de nombreux sujets en parallèle.
Et une importance capitale porte sur la gestion des priorités. Nous sommes dans un contexte de RUN, on peut donc à tout au moment avoir un incident, cela fait partie de la vie d’un hébergeur. A ce moment-là, il y a un plan d’actions à mettre en place mais ce n’est pas pour ça que tout doit s’arrêter. 
 

Ce que tu apprécies particulièrement dans ton métier ?

La diversité, le fait que rien ne soit figé dans le marbre !
Tout le monde est dans une démarche d’amélioration continue, ça va de l’expert technique au dirigeant de l’entreprise. Et comme c’est une structure à taille humaine, chacun est accessible si l’on veut échanger sur des sujets qui nous semble importants pour avancer dans le bon sens.
J’apprends tous les jours quelque chose. J’ai, d’ailleurs, pu faire des formations sur des outils d’industrialisation par exemple, c’est enrichissant.
 

Ce qui te plaît chez NFrance ?

Être à l’écoute des collaborateurs, ça fait partie de l’ADN NFrance. Parmi les expériences que j’ai eues jusque-là, c’est le cadre de travail qui me correspond le plus, qui est le plus sain et qui laisse le plus de liberté à s’exprimer pleinement professionnellement.
L’ambiance est bonne et j’y découvre le métier d’hébergeur.
Et il y a un certain nombre d’avantages salariaux – les 2 jours de télétravail, le panier de fruits chaque semaine, les indemnités kilométriques vélo… 
 

Quel serait ton message pour les personnes souhaitant postuler ?

Il ne faut pas hésiter ! On ne s’ennuie pas, on apprend tous les jours et ça se fait dans un cadre sympa.
On a la chance d’être dans une entreprise type client final donc le lieu de travail n'est pas amené à changer dans le temps, c’est assez confortable.